«P. Bouillaguet incroyable ouvrier devenu enseignant, voyageur et peintre.»
Françoise Monnin - ARTENSION n°148


«Peindre, pour lui, c’est comme une thérapie qu’il se serait choisie et dont il s’appliquerait seul le traitement... une sorte d’auto-art-thérapie.»
STRADA n°18, automne 2012

«Toute la confusion des tranchées semblent retranscrite entre style expressionniste et bande dessinée. Chaque oeuvre a son mode d’expression pour dire la guerre, la mort et, tout au bout, l’enfer.»
LA MONTAGNE, 9 octobre 2014


«Inutile de partir de l’autre côté de la planète, de s’adonner à un sport extrème ou de tenter n’importe quelle vieille ou nouvelle drogue de
 synthèse. Essayez de vous imaginer une randonnée dans la tête de philippe Bouillaguet, là au moins il se passe des choses, des rebondissements, la sensation de perdre le fil à tout moment, du mouvement, la vie quoi.»
VIBRATION CLANDESTINE, novembre/décembre 2014


«Sa peinture, entre violence et provocation, n’est pas sans rappeler le courant expressioniste allemand du début du siècle dernier, avec une admiration pour les oeuvres d’Otto Dix. “Le cri”, comme l’avait si bien exprimé Edvard Munch, en 1893, crier, une nécessité existentielle pour l’artiste : la peinture comme exutoire, pour exosrciser ses démons et traduire les tourments de l’âme, les névroses, les souffrances, les atrocités de la guerre, la souffrance des soldats...»
LE PROGRÈS, jeudi 22 mai 2014


 «Ne cherchez point d’oracles dans quelques entrailles de poulet, Philippe nous livre ses tripes en vrac sur ses tableaux. À nous d’en mesurer toute la force brute et authentique qui nous saute au visage comme un cri profond.»
CITATION DE LOUIS MOLLE, organisateur de la Biennale d’Art Singulier de Saint-Etienne